« Effy B. Jacobson »
• MESSAGES : 96 • CRAZY since : 13/07/2010 • MY ASS IS : fucking shit • MY MIND IS : you gonna die Feuille de personnage• MOI-MÊME: | Sujet: Oh my god, it was written in blood ▬ Effy Black Jacobson Mer 14 Juil - 0:04 | |
| Effy Black Jacobson “ Apaise moi, referme cette plaie en moi et même si je sais que c'est pas vrai, redit moi combien tu m'aimais. Mens moi ”
« Mila Kunis » | ....That's All In Your Head . .
▪ Nom(s) : Black Jacobson ▪ Prénom(s) : Effy ▪ Age : Vingt-ans ▪ Date : 21.02.1990 ▪ Groupe : Patients ▪ Occupation(s) : Écrire ▪ Niveau de vie : Misérable ▪ Attirances : Bisexuelle ▪ Maladie ou trouble : Skizophrénie, ca vous dit quelque chose ? Entendre des voix, voir des trucs pas du tout normal, les crises de violance extrême font tous partie de mon quotidien de vie. De plus, il est un peu normal d'être enfermé dans ce misérable bâtiment lorsque vous êtes le célèbre auteur du meurtre de votre beau-père. Encore plus lorsque vous l'avez violemment découpé.
▪ Caractère : Sadique, drôle, menteuse, rusée, violante, impulsive, voleuse, joueuse, manipulatrice, curieuse, hypocrite, hystérique, lunatique, aguichante, garçe, ... |
Who Are You . .
| 239, Evergreen - London. Vingt-six octobre deux mille sept. Je l'avais pourtant prévenu, je lui avais dit d'oter ses sales pattes de sur mon cul, mais cet enfoiré n'à jamais rien voulu savoir, alors j'ai eu aucun choix, j'allais surement pas me laisser embarquer dans une histoire avec le mari de ma mère, il était hors de question. De plus, les voix dans ma tête ne cessaient de me hurler que je devais le tuer, que c'était qu'un gros pleins de merde qui empestait l'alcool à vingts kilomètres à la ronde. D'ailleurs, j'avais rapidemment prit le contrôle sur lui et en peu de temps ses mains m'avaient lâché. En fait, ces mains avait tout laché, y compris son corp. Une simple hache, qui servait à couper du bois pour alimenter le feu, et voilà qu'elle servait à couper les mains d'un homme. À cet instant, je ne vous dit même pas le sentiment d'euphorie qui m'avait envahi, la joie que m'avait procuré ces hurlements de douleurs et la vu de ses larmes innodant ses joues. Heureusement, ca ne c'était pas arrêter là, sur le coup de l'extase, je n'avais eu d'autre choix que de continuer mon boulot, après tout, quel homme pourrait vivre sans ses mains. Aussi bien mourrir. J'évite les détails pour les âmes sensibles, mais comme bilan, quatre coups à la tête, six au ventre, deux au torax et des dizaines dans les jambes. Ce qui auparavant, malgré sa laideur, ressemblait à un être humain, ressemblait vraiment à une bouillit. Dans le genre d'une charcuterie.
Ma joie s'évanouï un peu lorsque j'entendis la porte claquer, disons qu'en m'emportant dans cet élan de joie, j'avais complètement oublié l'existence de ma propre mère. Non pas que je regrettais mon acte, mais je me sentais un peu mal pour elle, ou plutot pour le dégat qu'elle allait devoir nettoyer. Ce fus un mince sourire aux lèvres, comme celui d'un enfant qui vient d'être supris à colorier les mûrs que je me rendis à la cuisine, la hache à la mains, du sang de connard de la tête aux pieds. Bien entendu, je ne vous apprend rien en vous disant l'énorme cri qu'elle à poussé en me voyant et les millions de cris agrémentés de pleurs qu'elle à rugis en voyant le corps quelque peu massacré de son époux. Je vous évite aussi les sôtisses qu'elle à pu me crier par la tête, les pots qu'elle à pu me lancer et les coups de téléphone qu'elle à fait à la police pour qu'ils viennent me chercher. En croisant son regard, j'avais compris que pour elle, je n'étais plus sa fille.
Cours suprême - London Trois décembre deux mille sept.
S'il vous plait Mme.Jacobson, pourriez-vous nous raconter en détail ce qui s'est produit le soir du vingt-six octobre deux mille sept. Marmona l'avocat pour la inième fois. Ma pauvre mère était toujours en larmes et n'étais bien entendu pas capable de placer un piètre mot. Je soupira donc, balayant la salle ainsi que ses « spectateurs » du regard. Certains avaient les larmes aux yeux, soit parce qu'ils avaient connu mon beau-père, soit parce que ma mère faisait - pour eux - attrocement pitié. D'autres eux, avaient leur regard fixé sur moi, certains étaient rageux, d'autres intrigués et je pu même aperçevoir un sourire sur l'un d'entre eux, ou était-ce ma tête qui me jouait des tours. Chose qui ne m'aurait pas étonné. J'avais tendance à voir des choses pas très réels, et même à entendre des drôles de voix. C'était d'ailleurs ces drôles de voix qui m'avait dit de tuer ce crétain de Joe. Je sortis de mes pensés et posa mon regard sur l'avocat. Ma mère avait finalement parler, même si ce n'était pas très clair et tout ce qu'on pouvait distinguer était Cette fille c'est le diable incarné, elle mérite de souffrir comme Joe à souffert. Puis de nouveaux sanglots. Je ne vous laisse pas dire que le juge ne fût pas très cordial avec moi. Selon lui, si la peine de mort aurait été légal, c'est vers la chaise électrique que je me dirigeais, mais comme c'était interdit depuis un moment déjà, je fus condamné à passé quasiment toute ma vie dans un asile psychiatrique situé à Gorgie, aux États-Unis.
Osiris Institute - Gorgie Dix-sept juin deux mille dix. Trois ans. Trois délectables années de cette merdique de vie passées dans ce trou à rat. Lorsque je suis arrivée, je fus automatiquement l'une des cibles du directeur. Selon lui, j'étais un grave cas, un cas extrême et plus que dangereux. Il m'avait rencontrer, il avait assistée à de nombreuses crises de violances qui m'avaient prises et il avait enfin découvert le pourquoi du comment. Ces voix dans ma tête, ces dites hallucinations et cette violance extrême. Un mot, Skizoprhénie. Après plusieurs mois de rencontres, il m'avait penser assez apte pour me ballader dans les couloirs, me laisser discuter avec les gens, selon lui, j'avais fait de merveilleux progrès. Mais le résultat ne se fit pas attendre, de mes merveilleuses ballades en sortie une scène quelque peu violante. Vous avez déjà essayer de trucider quelqu'un avec une fourchette ? Moi si, et c'est d'ailleurs pour cette raison que je fus envoyé dans la section C du bâtiment. La section des fous, ceux n'ayant aucune chance de s'en sortir, ou du moins, presque. Cette section regorge de gens comme moi, ils ont droit à des visites, de se ballader, mais seulement lorsqu'ils sont accompagnés d'au moins soixante mille gardes. Mais si vous saviez tout ce qu'ils nous font subir, si vous saviez à quel point ici, les fous ce sont eux et rien qu'eux, peut-être ne verriez-vous pas Osiris comme un centre bien tranquille pour fous comme moi, peut-être verriez vous à quel point il est horrible d'être envoyé ici, même pour le pire des psychopates.
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And You . . ▪ Prénom : Joany ▪ Age : Quinze ans ▪ Comment vous avez atterri ici ? : Une amie ▪ Exemple de Rp :
- Spoiler:
« Maison des Swan, 8h00 am. »
Le réveil avait été brutal, pire qu'une douche d'eau glacé ou que des milliards de coup de poing. En faite, pire que la mort elle-même. La mort, cette pauvre salope. Cette trainée qui avait emporter dans sa course folle, l'être que je chérissait le plus au monde, la personne qui redonnait un sens à ma vie, l'homme, qui m'avait tout simplement refait découvrir l'amour. Cela faisait maintenant deux semaines, oui deux semaines. Treize jours pour être plus précise. Presque un demi-mois que je ne vivais plus, que je n'allais presque plus en cours, et que les seules fois où je sortais, c'était pour courir chez mon meilleur ami, Jacob Black. Mais , ce matin-là, j'avais réalisé que ca ne pouvait plus durer, que je ne pouvais pas passer ma vie enfermée ici à me plaindre sur mon triste sort, je savais qu'un jour ou l'autre, j'allais avoir à sortir, que je ne le veuille ou pas.
- Lundi, sept heure trente du matin, maison des Swan -, ainsi débutait une nouvelle vie. Je pris alors une profonde inspiration, puis me leva péniblement. Je ressentais encore la douleur de la morsure et des nombreux coups partout sur mon corps. Deux semaines étaient passées, et pourtant la douleur physique autant que mentale, était toujours présente. Je grimaça en posant mon pied sur le sol glacé puis me donna un petit élan, de peur de retombée endormie dans ce lit, un peu trop confortable peut-être. Tout en enfilant mes pantoufles, je posa un regard furtif sur la photo de moi et Edward qui jonchait ma table de chevet et poussa un terrible soupir de tristesse. Il me manquait tant, et de voir son visage, ainsi si heureux, il n'y avait pas pire peine. Je tourna l'image contre le mur et me leva brusquement en direction de la salle de bain. Je resta une bonne demi-heure sous la douche, laissant l'eau chaude couler le long de mon corps. C'était toujours ainsi, lorsque je me sentais pas bien, je sautais rapidement sous la douche ou dans un bon bain chaud et je me détendais, durant de longues minutes. Lorsque j'eus terminé ma longue douche, je sécha vite mes cheveux, me passa un coup de brosse, prit les premiers vêtements que je vis et descendit en bas me faire à petit déjeuner, ou du moins essayer de manger un petit quelque chose.
Comme beaucoup de gens auparavant me l'avaient dit, j'avais terriblement maigris ces derniers temps, la nourriture ne passait plus et donc ma peau touchait de plus en plus mes os, laissant à des endroits de grosses bosses montrant le début de mon squelette. Après avoir mangé deux-trois bouchés de toasts, je pris mon sac et alla démarrer ma vieille voiture. Il lui en fut beaucoup pour décoller et je pu enfin partir seulement dix minutes plus tard. J'étais déjà en retard et les gens sur la route faisaient vraiment tout pour me ralentir. Huit heure trente, les cours débutaient à Huit heure trente-cinq. En plus que j'avais histoire, je savais que ca allait chauffer pour moi, c'était évident.
« Lycée de Forks, 11h45 am. » Enfer. Voilà le premier mot qui me venais en tête pour décrire cet avant-midi. Comme je l'avais bien évidemment prévu, j'étais arrivée très en retard à mon cours d'histoire. Résultat, j'avais eu droit à une copie longue de deux pages dont la phrase - Je n'arriverai plus en retard à mes cours - était à recopié deux-cent fois, ainsi qu'à une merveilleuse retenue le mercredi suivant. La récréation s'était déroulé pareillement, voir même pire. J'avais tenté d'aller m'assoir avec Jessica et toute la bande, mais bien vite j'avais été repousser. Je savais que la mort d'Edward les avait tous secoués eux aussi. Mais il y avait autre chose que je savais, pour eux, c'était moi la coupable.
J'étais la fautive et par ma faute, mon vampire n'était plus des nôtres. J'avais dès-lors, été contrainte de m'assoir seule près de la fenêtre, mon ipod aux oreilles, attendant patiemment que la cloche annonça le deuxième cours sonne, chose qui étrangement n'arriva bien vite. Par la suite, j'avais eu Mathématiques, la pire matière à vie. J'étais nulle, voir totalement stupide en maths, je ne comprenais rien et le prof en profitait habituellement toujours pour me ridiculiser. Mais ce matin , j'avais bien vu qu'il n'avait pas à rigoler, je voyais bien la pitié qu'il y avait dans ses yeux lorsqu'il posait son regard sur moi. Cette sale pitié que je voyais dans le regard de bien des gens, et que j'avais tout simplement envie de démolir. C'est vrai,ces gens, autrement, ne s'étaient jamais souciés de moi, pour eux j'étais une simple inconnue, amourachée d'Edward Cullen. Mais aujourd'hui, j'étais la fille qui se retrouvait sans son Edward Cullen, la simple inconnue venait de perdre sa raison de vivre, sa raison d'être, et ca tout le monde le savait. L'heure du midi était enfin arrivée, et j'avais décidé de retourner chez moi, l'avant-midi avait été beaucoup trop longue et horrible pour que je puisse endurer l'après-midi qui allait suivre. J'étais donc sortie, vers onze heure quarante et je m'étais rapidement dirigée vers ma voiture qui se trouvait à moitié chemin. C'était tranquille à l'extérieur, les rares élèves dehors regagnaient eux-aussi tranquillement leur voiture.
« Hey, Tu sais que ton père est un beau sal*p? Et à te regarder je dirais que tu n’es franchement pas mieux ! »
Je m'étais retourné brusquement, peut-être un peu trop pour mon cou, mais peu importait. Un peu plus loin, se tenait trois espèce de jeunes, l'un deux avait un joint à la mains, l'autre me toisait d'un mauvais regard, et l'autre, l'autre semblait ailleurs, dans son petit monde, ne se préoccupant pas pour le moins du monde de ce que son ami venait de dire. J'haussa les sourcils puis m'approcha de lui un air mauvais.
« Tu m'veux quoi toi ? » Avais-je cracher d'une voix qui n'était pas mienne.
Mais avant que je ne puisse rajouter quoi que sa soit d'autre, le troisième gars - qui était deux secondes plus tôt complètement dans la lune - était intervenu. Il s'était placé devant le type et l'avait doucement poussé en lui ordonnant de se calmer et de déguerpir, chose qu'il fit tout de suite, accompagné de son acolyte, l'autre débile. Le jeune homme se retourna par la suite vers moi et me regarda froidement. Je lui rendis son regard froid et tourna les talons, prête à partir lorsque quelque chose, ou plutôt quelqu'un m'aggripa le bras, je me retourna d'un air insultée puis le toisa d'un regard encore mauvais. Que me voulait-il ou juste ?
« Écoute, tu veux bien m'expliquer ce que tu veux ? »
Son regard était froid et dur et n'exprimait aucunes émotions. Il était plutôt bel homme, mais semblait s'en foutre complètement. Son petit look rebel à la converse en disait d'ailleurs beaucoup sur lui. Mystérieux, froid et difficile à cerner, un genre d'Edward, humain ? Je secoua la tête, chassant cette idée de ma tête et fit de gros yeux, attendant qu'il daigne me répondre
« Désolé, je .. non rien. Repars ! » Avait-il simplement lâché.
Il s'apprêta à partir, mais cette fois je fus celle qui lui attrapa le bras. Il sembla surpris mais s'arrêta tout de même, me regardant d'un air supérieur. Le con, je l'aurais trucider sur place. Je pris une grande inspiration puis souffla d'un murmure.
« Non. Qu'est-ce que tu me veux ? »
Il soupira puis partit. Je voulu lui crier de revenir, lui hurler dessus, lui demandant ce qu'il avait eu à me tirer le bras ainsi. Il était évident qu'il avait voulu parler, mais rien n'était sortit. Rien qu'un simple « Repars ». J'avais donc rageusement marché en direction de ma camionnette - qui par chance avait fonctionné du premier coup -, puis roula presque dangereusement jusqu'à chez moi. Arrivée dans la petite maison, je monta en haut, dans ma chambre, puis fis quelque recherches dans mes albums de finissants, je chercha longuement, puis finis par trouver. Il était bel et bien étudiant au lycée de Forks. Sur sa photo, il semblait tout aussi perdu et froid que lorsque je lui avais parler un peu plus tôt. Je baissa les yeux, à la recherche de son nom puis trouva finalement.
« Maison des Swan, 13h30 pm. »
Calvin Isaac Newman. Je ne cessait de me répéter ce nom dans ma tête depuis que je l'avais vu dans l'album. Pourquoi cet être m'obsédait-il autant ? Pourtant, il était si simple, si peu important. Je n'avais pas quitté ma chambre depuis mon arrivée du lycée, je n'avais en fait, même pas quitter mon lit sur lequel j'étais couché, dans la même position depuis environ deux heures. Partout autour, c'était le silence total. Je ne parvenais même pas à entendre le bruit d'une mouche tant tout était si calme. Le seul son qui me laissant pas dans le doute que le temps avait été arrêté, c'était les battements de mon cœur. Le rythme sur lequel il frappait ma cage toraxique.
J'avais en si peu de temps, poser mon regard sur la photo de Calvin au moins un millions de fois. Je ne savais pas pourquoi, mais il était devenu une genre d'obsession pour moi. Non pas que je le trouvais attirant ou quoi que se soit, bien qu'il était mignon, mais c'était sa façon d'agir, son calme, sa froideur, tout était si étrange chez lui. Et puis, je n'avais toujours pas su ce qu'il avait voulu en m'agrippant le bras ainsi. Au bout d'environ vingt-minutes, une sonnerie me sortit de mes pensés. Je passa ma mains sur la table de chevet, à la recherche de mon portable et finit par le trouver. Je l'ouvrit immédiatement et regarda le SMS que je venais de recevoir.
« Rendez-vous au parc. Minuit »
Il n'y avait pas de signatures, je ne connaissais pas le numéro, mais c'était intriguant comme textos. Bien qu'il y avait des risques de dangers, je me devais d'y aller, quitte à y laisser ma vie si il s'agissait de maniaques. ▪ Avatar : Mila Kunis. ▪ Une chose à ajouter ? : Attention les fous, me voilà. ▪ Code règlements : - Spoiler:
Validé par Hazelou
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