Il y avait une nouvelle ici, et comme toute bonne voisine de chambre, je me devais d'être généreuse et acceuillante. C'est ainsi donc que je me retrouva, la bouche à son oreille à lui murmurer les trois plus jolis mots. Bienvenu en enfer ! Bon par la suite elle avait apeller les gardes et je m'étais ramasser à l'isolatoir pour la semaine entière, premièrement pour être sortie sans prévenir, deuxièmement pour avoir effrayé une patiente et troisièmement pour avoir encore une fois hurler et frapper sur quelques gens. J'ignore comme j'avais fait pour sortir, j'ignore le pourquoi du comment ma porte avait été aussi simple à ouvrir, mais je me souvins que la dernière personne à y être entré était cette nouvelle infirmière stupide et blonde. Elle avait sans doute du mal fermé ma porte, brave bête. J'avais dès-lors, en sortant doucement et subtilement sans espèrent que le garde surveillant les caméras s'était endormis, et apercu que la chambre - qui avant avait toujours été dépourvu de vie depuis qu'une fille y avait été retrouvé pendu - devant la mienne habritait maintenant un nouveau débile. Je m'étais doucement avancé et m'étais mise sur la pointe des pieds pour apercevoir.

Une jeune fille, dix-huit ans maximum. Elle était couchée sur son lit et semblait pleurer. Je souris et toqua doucement à sa porte en lui faisant un des sourires à en effrayer la gandarmerie américaine. Elle releva la tête et semblait effrayée, j'aimais. En même temps, elle n'avait pas l'air de savoir si elle rêvait ou pas puisqu'elle pencha sa tête et se relaissa tomber sur son misérable lit. J'ouvrit adroitement la porte et m'avança vers la jolie qui à chacuns de mes pas semblait réaliser qu'elle ne rêvait pas et donc qui se reculait maintenant, le dos collé contre le mur, la peur dans les yeux. Je continua de m'approcher d'elle et posta ma bouche à son oreille. Bienvenu en enfer. Avais-je murmurer avant d'éclater de rire et de me relever la tête et de lui lançer un de ses regards glacials.

Mon mur venais juste d'être finis, et je regardais sans cesse la même phrase. Je m'étais mise à la relire à voix basse. Je ne comprenais pas pourquoi tout le monde croyais que j'étais folle. Je n'avais jamais crié après un employer, je n'avais jamais frapper ou menacer personne. Mais pourquoi étais-je ici ! Une fois de plus je relu la phrase, mais à voix haute.

- « Dearly beloved are you listening? I can't remember a word that you were saying are we demented or am I disturbed? The space that's in between insane and insecure Oh therapy, can you please fill the void? Am I retarded or am I just overjoyed nobody's perfect and I stand accused For lack of a better word, and that's my best excuse ! »

Je me levais d'un bon pour reprendre mon crayon qui était sous mon matelas pour écrire quelques phrases de nouveau. Après avoir écris sur le placher, je m'étais recouchée dans mon lit pleurant encore, Je n'amais pas être si sensible, mais là s'en était trop. Ma voisine de chambre avais été envoyée dans l'isolatoire alors j'étais plus en confiance. Cette fille fesais peur, et je ne voulais pas la rencontrer encore une fois. Soudain, celle-ci me regarda par la petite fenêtre de ma chambre et entra. J'étais sur que je rêvais, mais Effy s'approcha de moi de nouveau et je ferma les yeux. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me chuchota ; « Bienvenu en Enfer ». Elle ria par la suite. Pis elle regarda le mur auquel j'étais collée. Mon crayon était encore par terre alors, j'essaya de faire comme si elle n'était pas là, et me coucha à plat ventre pour continuer mes injures écrites. Lorsque je m'en attendit pas, elle ferma la porte de ma chambre et me pris par les cheveux.

- « Qu'est-ce que tu veux ? Lâche moi bon sang ! » criais-je presque.

Qu'est-ce que tu veux ? Lâche moi bon sang ! Cria t'elle. Je souris malgré moi, cette petite m'intriguait, pas comme Hazael et le docteur m'avait intrigué quelques jours plus tard. Non, en fait, ce qui m'intriguait c'était son air trop sage qui me donnait envie de lui défaire la figure. Qu'est-ce qu'une fille à l'air aussi doux faisait-elle ici ? Je tira encore plus férocément ses cheveux avant de la lâcher et me mettre à rire. Les voix dans ma tête ne cessaient de m'ordonner de la tuer, mais de la tuer, ici sans rien, ca aurait été trop facile. Et je me serais sentit trop mal, non pas pour elle, mais pour le concierge plutôt. La jolie marmonait et injurait, je trouvais ca plutôt adorable, bien que vraiment drôle. Je soupira devant ses larmes et me mit à parler d'une voix forte. T'as peur la p'tite ? Tu crois vraiment que tes pleurs vont te faire sortir d'ici ? T'es folle, autant si c'est pas plus que nous tous ici. Fait toi une raison et cesse de bougonner. Dis-je en lui assenant un coup.

Sur son mur, il y avait pleins de paroles d'écrites, tous en anglais. Je souria. Son mur ressemblait au mien. Bon la différence était que sur le mien il y avait du sang, mon sang ou celui des gardes ou des infirmières, des dessins morbides ainsi que le nom de tout les personnes que j'avais envie de trucider. En gros, il y avait le nom de pas mal tout le monde sur ce mur. Je reposa mon regard sur elle, elle semblait un paniqué. Bon je comprenais, pour une petite nature comme elle, être en présence d'une folle furieuse qui passe ses nuits à hurler et qui tue pour son propre plaisir, c'étais peut-être un petit peu horrifiant, mais elle exagèrait aussi. Je m'installa sur son lit et lui fis un grand sourire avant d'éclater de rire et de lui enfoncer la tête dans son oreiller. Je t'aime déjà pas toi.

Elle ne cessais de me dire que j'étais folle. Ça me frusrtait au plus haut point. Elle n'avais pas le droit de me traiter de folle et encore moin de m'enfoncer la tête dans mon propre oreiller simplement pour le plaisir. Elle répètait toujours la même phrase et ça commencais a me rendre malade. Je me suis mise à me débattre pour ne pas mourir étouffée, pis la regarda droit dans les yeux à deux pouces de son visage.

- « La seule folle ici, c'est toi. », dis-je d'un ton sec.

Effy me reprit pas les cheveux, plus ferme cette fois pour me coller violament le visage contre le mur. Sa faisait vraiment mal, surtout qu'elle entourait mes cheveux long autour de son poignet pour me faire souffrir encore plus.

- « Et je n'ai pas peur », mentis-je.

Pourquoi ne me lachait-elle pas ? Eh merde. C'était quoi son problème elle ne pouvais pas me laisser vivre ma vie tranquille ? - même si elle était déjà gaché -. J'avais l'impression qu'elle enfonçée de plus en plus dans ce mur. Elle me répetta encore que j'étais folle. Je ne savais pas quoi faire contre cette fille, elle me fesait peur.

- « Tu sais que j'men fou ? » répondis-je lorsqu'elle me dit qu'elle ne m'aimais pas.

Je voulais qu'elle retourne dans sa chambre, ou qu'elle me lâche tout simplement. C'tait comme si quelqu'un m'arrachait le cuir chevelu. Cette fille devais entendre des voix dans sa tête puisque elle répondais à des questions, sans que j'en ai poser une seule. Je fini par me déprendre de son emprise, mais je du y laisser quelques mèches de cheveux.

- « Va t'en. » dis-je en pointant la porte.

La seule folle ici, c'est toi. Ces mots m'agacèrent tant que je lui enfonca la tête dans le mur. Pour qui se prenait-elle ces trainée. Un conseil la mignone, tu ne devrais pas me chercher. Sinon, tu peux être sure de me trouver, et je crois pas que tu le veules. Dis-je en appuyant plus fort sur sa tête, enmêlant ses cheveux à mes poignets. Et je n'ai pas peur. Quelle piètre menteuse faisait-elle. Sa peur se ressentait à des milles à la ronde. Elle ne m'aimait pas non plus, chose qui ne me faisait ni-chaud ni-froid, après tout, m'avait-on déjà aimé auparavant ? J'étais une habituée. Je lacha sa tête lorsque les voix ce firent plus insistentes dans ma tête. Non, je ne peux pas. Arrêtez putain. Murmurais-je à moi-même en me prenant la tête de mes deux mains. Je pris une profonde inspiration puis releva le regard vers cette débile. Je vais pas partir, je commencais tout juste à me plaire. Dis-je en m'approchant dangeureusement d'elle.

La pauvre, elle m'avait trouvé dans mes pires jours. Je m'approcha du mur où elle avait écrit ces milliards de paroles et me mit à les lires. « I'm not crazy » Je ne pu m'empêcher de rire aux éclats, avec un soupçon de machiavélisme. Croyait-elle vraiment qu'elle n'était pas folle celle là ? Les seuls gens à ne pas être fou ici, c'était .. Non en fait, tout le monde était débile mental ici. Je soupira puis versa la tête par en arrière. Si elle continuait à hurler ainsi j'allais finir par me faire ramener par les gardes, et pour moi, ca allait être la fête. Isolatoire, salle d'expérimentation ? Je l'ignorais. Mais j'allais payer pour. La seule fois que j'avais été en salle d'expérimentation, c'était quand j'avais attaqué cette dinde de Marthie à fourchette. Elle avait subit quelques séquelles et pour me faire payer ils m'avaient trainés de force là-bas et m'avaient fait vivre les pires supplices. Je revoyais encore leurs seringue de n'importe quoi entrant et sortant sur mes jambes et mes bras, leurs tireurs de paupières et la foutue goute d'eau froide dans le front. Je tressailit à ses souvenirs.

Effy ne me fesais pas si peur que ça. Ses troubles la rendait spéciale, je l'avoue. Mon côté gauche du visage fesai très mal - celui que Effy avait écrasé contre le mur -. Elle ne voulais pas partir et je me demandais vraiment si elle allais me faire souffrir, comme ses autres victimes. J'avais entendus tout de sortes de ragos à propos d'elle, et je ne souhaitais pas que cela m'arrive, oh non ! Mais elle ce croyais meilleur que tout le monde et je refusais de me laisser abbatre devant cette folle à liée. Ses yeux était fixés sur mon mur, alors au lieu de parler pour la rendre furieuse, j'essaya de me rendre en catimini vers ma porte de chambre pour l'ouvrir. La débile se trourna, et vis que j'avais l'intention de partir. Elle me regarda un instant, comme si quelqu'un lui parlais ou je ne sais quoi puis ce mis à me menacer de me tuer, - ce qu'elle ne pouvait faire évidament -. J'avais peur, et j'essayais de le cacher le plus possible pour ne pas qu'elle voit que j'étais effrayée. Je lâcha la poignée en essayant de rester calme pour ne pas l'énerver. Elle me fixais sans cesse en me demandant pourquoi j'allais la quitter. Je ne répondit pas, ayant peur de sa réaction. Soudain, elle se mit à crier en m'ordonnant de répondre à sa question. Sans broncher, je repris le poignée de porte, mais j'avais oubliée qu'elle était vérouiller et que l'ont pouvait que l'ouvrir de l'exterieur. J'étais mal. Eh merde. Je senti soudain un immense poid me tirer vers l'arrière. C'était cette débile qui me tirai les cheveux, déjà qu'ils étaient long ça lui facilitais la tâche. Je sentait qu'elle les avait attacher à elle de nouveau mais cette fois la douleur était de plus en plus intense.

- « C'est quoi tu veux m'arracher les cheveux ? Allez lâche moi, je t'ai rien fais ! », dis-je horrifiée

Encore une fois, elle tira d'un coup sec, comme pour me faure souffrir d'avantage. Cette fois, elle me plaqua littéralement contre le mur, mais d'une façon très violente. J'étais sûr qu'elle allais finir par me briser la mâchoire tellement ses coup étaient lourds. Elle tourna mon visage pour que je me retrouve face face avec elle, elle tira mes cheveux de nouveau puis me frappa à la clavucule et au visage à deux reprise. L'hystérique me coucha de force au sol, puis appuyais son mon visage, en attirant mes cheveux vers elle. J'étais sûr que cette folle allais finir par me tuer.

J'avais finit par déduir que cette fille était au courant pour problèmes, vu la peur dans son visage et le vitesse à laquelle elle s'était ruée vers la porte, essayant tant bien que mal de l'ouvrir. Elle se débatait presque avec la poigné puis sembla finalement réalisé qu'elle était barré de l'intérieur, et qu'à moins d'avoir eu la visite de cette nunuche d'infirmière, il était impossible pour elle de sortir. Je me leva doucement et lui fis un mince sourire.

T'as pas aucuns moyens pour sortir d'ici. Dis-je en murmurant.

Puis, voyant qu'elle essayait toujours de trouver une idée pour sortir je m'approcha un peu plus.

Pourquoi tu veux partir ? On s'entend bien toi et moi non ?

La jolie continua à me regarder sans rien. Peut-être avait-elle perdu sa langue ou était-elle peut-être juste sourde.

TU VAS RÉPONDRE À MA QUESTION ? Hurlais-je.

Elle se retourna vers la petite fenêtre, espèrent sans doute qu'un garde ou quelqu'un du personnel aie entendu mes cris, mais en vain. Je m'avanca un peu et lui tira violemment la crinière. Je n'allais pas la tuer, seulement lui montrer à quel genre d'endroit elle avait affaire, je devais bien faire ma loi un peu. Je tira plus fermement, lui collant le visage au plancher si brutalement que j'en déduit presque qu'elle s'était sans doute casser quelque chose. Puis, la tenant toujours au sol, j'approcha à nouveau ma bouche de son oreille, tirant peu à peu sa tête vers moi.

Je suis Effy, enchantée. Dis-je d'une voix rauque, avant de lui frapper la tête contre le sol.

Elle n'allait sans doute pas vouloir se présenter et je m'en balançait un peu à vrai dire. La fille se mit soudainement à hurler si fort que mes tympans en arrachèrent presque. J'avais beau lui plaquer le visage encore plus férocement, elle ne cessait de continuer. Bientôt je pu entendre les pas rapides qui se faisait dans les couloirs et les gardes crier Cette folle s'est encore sauvée de sa chambre. Un silence et la porte s'ouvrit à grand fracas. Devant nous, se tenait six gardes, deux infirmière et un médecin. Aussitôt qu'il virent ce spectacle, les six gardes se jetèrent sur moi et tentèrent tant bien que mal de me maitriser avant que l'une des infirmière m'injectent une seringue dans le bras. J'hurla et me débatit un cours instant avant de perdre conaissance. Lorsque je me réveilla, quelques heures plus tard, j'étais couché à même le sol, les bras entouré contre moi dans cette fichu camisole. Cette salope m'avait bien eu, mais il était évident que j'allais lui faire repayer. Foix d'Effy.