« Screaming it's all i want » | Alexander J. Warren

Je n'avais rien à faire aujourd'hui et bizzaement tout semblais plus calme que d'haitude. Je me mis à genoux près de mon lit pris mes crayons noir et rouges permanent. Je m'approcha du mur droit et commenca à tracer toutes sortes de trucs et même, à écrire. J'étais tellement en colère que je m'étais mise presque à pleurer. Je n'avais presque pas consience de ce que j'écrivais. Au bout de quinze minutes, mon mur était presque plein. Je décida de continuer, et déssina une cible. Plein d'autre mots me vint en tête. En fait, c'est dernier mots ressemblais à ça ; «Everyone is so full of shit, born and raised by hypocrites, hearts recycled but never saved. From the cradle to the grave, we are the kids of war and peace from Anaheim to the middle east We are the stories and disciples of the Jesus of suburbia Land of make believe, that don't believe in me Land of make believe and I don't believe and I don't care! ». Il y avait tellement de colère que quelques fois, je serrais les dents pour ne pas crier. je me demandais encore pourquoi j'étais ici, pourquoi j'avais méritée tout ça. D'autre phrases me vint en tête alors je me suis mise à les écrire : « Dearly beloved are you listening? I can't remember a word that you were saying are we demented or am I disturbed? The space that's in between insane and insecure Oh therapy, can you please fill the void? Am I retarded or am I just overjoyed nobody's perfect and I stand accused For lack of a better word, and that's my best excuse ! »

C'était injuste. À présent, mon mur était plein. J'avais retombée assise le visage collé près du mur d'injure et de colère. Je savais que je n'étais pas folle, et tout ses mots m'avais libérée mais pas entièrement. Je n'étais pas sortie d'ici... même si c'était impensable que quelqu'un me laisse partir, après le meurtre qui avais été commis tout le monde croyais que j'en était l'auteur ! J'avais finalement décidée de ne pas serrer les dents cette fois et de crier, juste une fois. Quelques secondes après, je colla de nouvaux mon visage sur le mur glacée et entendit la porte de ma chambre s'ouvrir. Je ne voulais parler à personne, surtout pas à ces stupides infirmières. Je resta dos au mur, attendant que ce quelqu'un parle. Mes larmes n'était pas sèches, mon visage était encore humide et tout ces mots que je venais d'écrire allais surment faire penser à l'individu à qui je tournais le dos que je m'étais qu'une pauvre folle, encore une fois.

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

Javais mal dormi la veille. Aller savoir pourquoi je metais reveiller a toute les heures presque pour realiser quil me restait encore pleins de temps pour dormir.... enfin jusqua ce quil ne men reste plus du tout et que jais du me lever pour aller travailler. Vue mon etat on mavais admis pour faire les test generaux. Juste question de verifier si les patients allaient bien prendre des prise de sang si necessaire. Enfin ce genre de test etait effectuer sur des patient quon considerait moins dangereux. De toute facon je navais pas vraiment les reflexe quil me fallait pour faire face aux plus dangereux. Je venais de terminer les test generaux avec un patient et la prochaine a laquelle je devais faire les verification se nommait Stella. Jentendis un cris.. il provenait exactement de sa chambre a elle. Jesperais quelle netait pas en pleine crise ou quelque chose du genre. Pourtant son dossier disait que cetait une patient plutot calme, quelle avait commis un meurtre et ils lavaient considerer comme deranger mentalement. Jarrivevai dans la piece et vit toute les ecriture au mur. Je ne su quoi en penser, cetait etranger, surment une folie qui lui avait prit. Le mur etait remplis comme sa et je ne pouvais quitter les yeux de ses ecritaux. Je finis par men lasser, je ne voulais pas en comprendre le sens ou quoi que ce soit jetais pas la pour sa moi... non? Je mapprochai de la jeune fille assise au sol, 18 ans quelle avait.

- Bonjour, je suis le medecin Alexander, je viens pour un test general, voir si tout va bien...

Elle ne broncha pas immidiatement, je me demandai si elle mavait entendu, si je devais repeter ou encore mapprochai. Mais javais appris dans les annee que dans ses cas la le mieu etait de patienter, de rester sur ses gardes au cas et dattendre une reaction du patient. Comme elle ne reagissais toujours pas je me risquai a prononcer son nom que javais retenu quelques intants avant.

- Stella...?

- « Je ne suis pas folle », finis-je par lui dire lorsque Alexender prononca mon nom.

J'avais l'impression qu'à chaque fois que j'ouvrais la bouche, tout ce retournais contre moi. Oui j'étais dans un asile, mais une erreur peut arrivée non ? Pourquoi personne ne m'écoutais j'étais un être humain ! J'avais le droit de dire ce que je pensais. La dernière fois que je l'avais fait, il m'avais administré un sédatif. C'était n'importe quoi.

- « C'est pas moi la coupable... Ils ce sont trompés de personne je vous jure. J'aurai jamais fait ça à quelqu'un ! En ce moment je serai supposée être à libre, et je me retrouve ici. J'ai pas méritée ça, je suis quelqu'un de bien ! Croyez-moi, s'il vous plaît.. » dis-je d'un ton calme mais désespérée.

J'étais sûr qu'il allait me prendre pour une singlée, comme tout les autres. Mais je voulais essayée de lui parler. Juste pour voir si il allais me croire.

- « Je n'ai rien d'anormal. Vous le voyez bien ? Et ne me sortez pas le coup des problèmes mentaux.. Je ne suis pas folle, et je le sais. Croyez vous vraiment que j'aurai fait ça a quelqu'un ? J'ai jamais rien fait de mal dans ma vie, je comprend pas pourquoi dieu me punis ainsi! Imaginez qu'ont vous enferme dans un asile et que vous n'avez rien à faire là, que vous n'êtes pas coupable de ce qu'ont vous accuse... vous êtes forcé de vivre avec des gans fous qui vous regarde bizarement et vous vous demandez sans cesse pourquoi vous méritez tout ça. Imaginez être dans ma situation ! »

Je savais que sa n'allais mener à rien. Que j'allais passez pour une folle hystérique, et que comme tout les autres, il n'oserai même pas me regarder en plein visage. Je n'avais rien de méchant, et ça paraissait. Alors pourquoi personne voulait me croire !

- « Pourquoi ? »

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

Le premier truc quelle me sortit cetait quelle netait pas folle. Tout de suite je me suis dis que sayais une autre allait me faire accroire quelle allait bien dans sa tete. Puis elle se mettrait surement a me dire quelle avait marre des voix quelle entendais ou bien elle me decrirait comment elle sy prendrait pour me tuer. Cetait la routine, mais contrairement a ce que je crus elle ne fit rien de cela. Elle se mit a mexpliquer quelle netait pas coupable quelle navait rien fait et que cetait une erreur quelle soit ici. La facon dont elle le dit me fit froncer les sourcil. Ca semblait si sincere... et meme pas de crise hysterique apres cela. Non au contraire elle retomba comme decourager de tout cela. Je ne su quoi repondre sur le coup. Premiere fois que je ne restais pas indifferent face a ce que quelqun me disais... Je secouai la tete legerement, il me fallait reprendre mes esprits. Je mapprochai de la patient et maccroupi pres de celle-ci. Il fallait parfois y aller gentilment si lon voulait que la patiente fasse ce quon lui dise.

- Je dois vous faire passer les test generaux... vous voulez bien me suivre?

Elle sembla decourager de ma reponse, comme si je venais en quelque sorte de lui dire quelle etait folle que je me foutais de tout ce quelle mavai dit et que tout ce que je voulais cetait faire mon travail. Bon il y avais un peu de tout sa vue que ses vrai que ce que je souhaitais cetait terminer ma job. Mais ce quelle mavais dit... je devais me lavouer sa mavais un peu marquer. Comme elle ne se levai toujours pas je decidai de me risquer a poursuivre.

- Le temps que je continue a passer vos test... vous pourrez peut etre mexpliquer un peu ce qui ses passer... pourquoi vous etes ici. Et quels pourraient etre les erreurs commises... Sa serait une bonne idee non?

Je fis un signe de la tête, puis laissa tomber mon crayon par terre. Je le suivit jusqu'à la salle de test qui me semblas pas très différente des salles qu'ont voyais dans les hopitaux. Il me fit un signe de m'asseoir, alors j'exécuta sa demande sans broncher. Il commença les tests, et me demanda si je voulais bien lui expliquer toute l'histoire du début pour qu'il puisse comprendre. J'avais peur qu'il ne fasse ça que pour me tester, et qu'il croit que je n'était qu'une de ces folles qui se promenait dans les corridors. Je n'avais absolument rien à faire ici, et je tenais à le prouver. J'était heureuse ûisque c'était le premier qui acceptais de m'écoutez sans me dire plein de trucs bizare.

- « Eh, à vrai dire je ne sais même pas pourquoi je suis ici. Un beau matin, les policiers sont venu frapper à ma porte pour me dire que j'avais été accusée d'un meurtre. Mais ce que vous ignorez c'est que la vicitme avait été retrouvée étranglée avec un fil de fer autour du coup... poignardée au moin une vingtaine de fois, et l'assassin lui avait déchirer chaque côté de la bouche pour que la victime se retrouve avec un sourire d'ange.. Les policiers n'ont pas pris le temps de me poser des questions et tout, ils m'ont ammené au poste de police pour une question de sécurité et je suis allée en cour mais tout ce que disai le juge.. je ne savais quoi lui répondre, je n'avais aucune idée de ce qu'il parlait ! Les avocats me demandais plein de trucs et... je leur répondait rien.. et le pire, c'est que les preuves mennaient toutes à moi, je n'y comprend encore rien aujourd'hui et ils ne voulais pas m'envoyer en prison parce qu'ils pensait que j'allais tuer tout le monde alors ils m'ont envoyé ici, pensant que j'avais des troubles psychologiques... »

Il devait ce demander par ailleurs d'ou venais toutes ses écritures sur mon mur.. mais je ne voulais pas répondre si il ne posait pas la question. Je voulais seulement lui faire comprendre que ce n'était que de la défoulation sur tout les problèmes.

- « Les dessins et les mots sur mon mur ne sont pas un signe de problèmes mentaux... c'est, c'était jutse pour me défouler croyez-moi. »

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

En même temps qu'elle me racontait un peu son histoire, je lui passai les tests généraux. Après tout j'étais quand même capable de faire deux trucs en même temps. Elle commenca par me dire que sans savoir deux policiers étaient venues et qu'un meurtre cruellement commis avais mener les traces jusqu'à elle. J'avais déjà lu cela dans son dossier, le meurtre y était décrit comme elle le disait, mais je remarquai que contrairement aux autres patients, elle ne le racontait pas avec plaisir. Plutôt avec un détachement comme si tout ça ne la concernait pas et que vraiment elle ne devrait pas être ici. Je ne répondit pas immidiatement, je continuais les tests, mais j'avais un mal à me concentrer parce que je trouvais sa bizard qu'on ait pu faire une erreur sur une personne et l'envoyer ici cet endroit était vraiment pour les fous... les gens normaux n'y survivraient pas plus d'une journee tellement c'était cruel et violent entre patients. Je restai en silence un moment tout en la regardant, elle me parla des écritaux sur le mur.

- Vous êtes sur... je croyais que... c'était quelqu'un qui vous avais dit de faire ça. Si vous comprenez ce que je veux dire.

J'étais pas sur si elle me suivait, je n'osais même pas lui dire carrément: C'est une voix dans votre tête qui vous a dis de faire ça! Je notai dans mon calpin quelques résultats, moi qui restait toujours indifférent face a ce qu'on pouvait me sortir.. Là je devais me l'avouer je ne l'étais pas. En fait je devais avouer.. cette fille ne me laissait pas indifférente tout court. Je réalisai que j'étais rendu au moment de prendre le poulx. Je sortit ce qu'il me fallait puis poursuivit

- Je vais prendre votre poulx maintenant...

C'était le moment ou les patient retirait le chandail la chemise blanche offert de lhopital. Il arrivait parfois que le patient se fache se mette a crier ou refuse. Dans ces cas là ou bien on demandait l'aide d'un garde et on le faisait de force ou bien on ne faisait simplement pas le test. On ne voulait pas rendre sa compliquer, voir mettre notre vie en danger pour une simple donnée. Ici c'est comme cela qu'on pensait tres souvent, notre vie avant la leur. Et on avait pas le choix et ça tout le monde le savait..

Il croyait que c'était quelqu'un qui m'avait demander de faire tout ça. Et bien non, il ce trompait. Je fis un mince sourire, sans répondre. Je ne savais quoi dire de toute manière. Quelques secondes après, c'était le moment de prendre mon poux. Je savais parfaitement que je devais enlever ma chemise, et que la seule chose qui me restais, c'était mon soutiens-gorge. En fait, sa ne me dérangais pas vraiment. De toute manière, je devrais le faire une autre fois alors pourquoi pas. J'en profitais aussi pour répondre à sa question précédente.

- « D'accord. Eh bien non, c'est bien moi qui à fait ça. Vous pouvez pensez ce que vous voulez, mais lorsque vous êtes coincée avec des fous vous ne parler à personne, et sûrtout toute vôtre frustration reste à l'interieur. Dans mon cas, ça l'a très bien fonctionner, malgré que je suis encore avec des malades mentales. »

Je retirais ma chemise sans broncher et me retourna pour la poser sur la chaise. Mon tatouage n'étais pas manquable. J'avais presque oubliée que je l'avais tellement j'avais passée de temps avec ses chemises affreuses sur le dos. Ce médecin avais l'air assez gentil. Sûrtout qu'il acceptais de m'écouter c'était quelque chose. Je me demandais pourquoi un si joli garçon venais se faire casser les oreilles dans un asile. Si j'étais lui, je serais déjà partie en courant. Puisqu'il avait voulu en apprendre sur moi, je voulais en faire de même. Même si pour lui c'était normal puisque j'étais l'une de ses patientes. Mais ce n'était pas le bon moment, alors je décida simplement de garder la bouche fermée.

- « Vous pouvez me tutoyez vous savez, je n'ai pas quatre cent ans ! », je fis un sourire.

C'était le temps de prendre le poux dans le dos, alors je me tournais, indifférente à sa demande.

- « Je suis sûr que je vais finir par me faire tuer. »,pensais-je à voix haute.

Eh merde. J'avais vraiment l'ahabitude de penser tout haut puisque je n'avais personne à qui parler. Mais là, c'était un peu différent. Il y avais un truc qui me tracassais dans la tête et il fallais absolument que je lui demande, alors je remis ma chemise et repensa à ma question avant d lui poser, je ne voulais pas le rendre mal à l'aise mais, je voulais savoir.

- « Est-ce que vous me croyez folle ? »

Spoiler:

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

Je compris donc que c'était un moyens de libérer sa rage. Bon je n'étais pas psychologue ou quoi que ce soit, mais je me dis que c'était quand même probable qu'une personne se défoule ainsi.. surtout si cette personne se retrouve malgré elle dans un asile. Mais non je me répéta plusieurs fois qu'il ne pouvait pas y avoir eu erreur sur celle-ci. Elle retira machinalement sa chemise, j'avais l'habitude, mais là... bon c'était différent disons. Je m'approchai et commencai à prendre son poux. Il me paraissait régulier, je l'écoutai plus longtemps que je ne l'écoute à l'habitude. Puis je pris mon calpin et pris d'autres notes.

- Ton poux est bien régulier... Répondis-je en prenant soin de la tutoyer cette fois. Je lui souriai et redéposai mon calpin sur le bureau. Jolie tatouage que tu as dans le dos.

Je la regardai, elle avait presque l'air d'avoir oublier qu'il existait ce tatouage. Pour ma part c'était difficile de le rater, je me demandai s'Il avait une signification particulière. Je n'osai pas lui demander quand même, au même moment que j'étais dans mes pensées, elle dit a voir haute qu'elle était certaine qu'elle se ferait tuer. Mon regard se posa a nouveau sur elle, s'est comme si elle s'était exprimer à voix haute sans le vouloir qu'elle avait laisser ses pensées, sa peur, parler pour elle. Je ne répondis pas, j'eus envie de demander pourquoi elle disait ça, bien que vue l'endroit ou l'On se trouvait il m'apparaissait évident qu'elle devait pas apsser du si bon temps avec les autres patients... Surtout si elle n'étais pas vraiment folle pensais-je à moi même. Sa question me laissa légèrement malhalaise, je ne savais trop quoi répondre, car je ne savais pas quoi penser non plus.

- Je.... je sais pas quoi penser.... je t'avourai... dis-je en murmurant cette fois et m'approchant légèrement, que je n'avais jamais été confu comme ça, avec ce que tu m'as dis...

- « Merci beaucoup. », dis-je en parlant de mon tatouage.

Lorsqu'il essaya de répondre à ma question, c'était un peu confu. Mais c'était comprenable. Sois qu'il me prenais pour une folle comme les autres, ou tout simplement qu'il essayais de comprendre. Mais je n'avais pas du tout envie d'en parler. En plus, je ne savais même pas depuis combien de temps j'étais ici, alors à quoi bon. J'allais surment passer le restant de mes jours ici, et Effy n'allais pas arrêter de me martiriser pour son propre plaisir personnel. D'après moi, mourir était mieu que tout cela. L'endroit était dégoutant, et surtout rempli de fous qui ne cessais de vous fixer à chaque fois que vous bougiez. J'en avais sérieusement marre de tout ça. Même si le médecin de pouvais rien faire, au moin - je l'espérais du moins - il me croyais. Les tests était terminés alors je pouvais retourner dans ma chambre... Pour quoi faire ? Croyais t'ils vraiment que j'allais assassiner tout le monde sur mon passage et que j'allais rire de joie après pour aller tuer le personnel et par la suite les découpez en morceaux. Je tressalli à cette pensée. Les gens qui fesaient ça était ignoble et sans coeur. J'étais sur que Alex' me croyais folle. Qu'il pensais que je m'inventait une personnalité ou quelque chose du genre. Je regardais l'heure sur l'horloge et vis qu'il était presque l'heure de manger. Beurk. La nourriture ici était bien agencé avec les patients ont dirait. C'était inmangable ! Je sorti la tête dans le corridor pour voir si Effy était près de ma chambre. Je ne voulais surtout pas qu'elle entre dans ma chambre. Oh non. Même si sa lui arrivait à quelques reprises. Je frissonait à cette idée, pour me tourna vers le médecin.

- « Merci, j'espère vous revoir bientôt. »

Je me retourna horrifiée à l'idée de retournée dans ma chambre. Je marchais lentement, pour bien sûr pouvoir arriver moin vite à ce que j'appellais mon pire cauchemard.

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

Je lui souriai et elle pu remettre la chemise blanche qui recouvrit son tatouage. Contrairement a ceux que j'avais pu voir sur les autres patients le sien était beau au moins. Elle avait surement remarquer que j'avais prit toute les notes qu'il me fallait pour les tests généraux. Elle se releva de la table et me remercia avant de se diriger vers le corridor qui semblait l'effrayer. Je la regardais s'éloigner, quand je réalisai que je n'avais pas détacher mes yeux d'elle je secouai un peu la tête pour me ramener à la réalité. Je regardai autour, mais il n'y avait personne, heureusement! Elle tourna dans sa chambre et je sortis dans le corridor pour la prochaine chambre. Il ne m'en restait pas beaucoup à faire, mais là j'avais un peu hate de terminer. Je fis passer les tests du patient qui pour sa part refusa que je prenne son poux. Je fis donc une barre a l'emplacement voulu puis vit qu'il avait eu sa prise de sang au cours de la dernière année. Je me rappelai alors que je n'avais pas vérifier avec Stella si celle-ci l'avait eu. Je pris le dossier de celle-ci et vit que cela datait de 3 ans. J'avais envie de la revoir... qu'elle m'explique encore son histoire et je voulais comprendre ou il y avais pu avoir une erreur. J'avais envie de comprendre... Je revins à la chambre de celle-ci, et j'y entrai avec son dossier dont j'avais relu les informations qui s'y trouvaient. Comment une patiente pouvait-elle me faire douter à ce point, moi qui était toujours indifférent face à ce que l'on pouvait me dire ou m'inventer pour me faire accroire des affaires... Voila qu'une ou deux phrases et je doutais.. J'étais même perdu par moment ou je me mettais a trop y penser.

- Hm Stella? Désolé... s'est que j'ai oublié de vous... euh de te demander si tu voulais prendre une prise de sang.. je vois que sa date d'un moment déjà donc techniquement tu serais du...

Je me rendis dans ma chambre, effrayée de tout les cris que j'entendais dans les autres pièces. J'entra dans ma chambre en prenant soin de bien fermer la porte dernière moi. Je me dirigais vers le mur, pis ramassa le crayon que j'avais laissée tomber quelques minutes avant. Même avec cette belle rencontre, j'avais encore l'impression d'être à la case départ : une folle qui ne sais pas ce l'admettre. Les choses que Effy m'avais dit m'avais beaucoup marquée.. surtout l'une d'entre elle. La cinglé m'avais dit que tout le monde était fou, y comprit moi. Peut-être l'étais-je. Peut-être que je ne le savais pas, et que j'avais réellement tuer cette personne inocente avec aucune pitiée. Je voulais me défouler, encore. Sans arrêt. C'était comme si, je fesais tout ça et que sa ne servais a rien parce que j'étais toujours aussi incertaine, triste, et surment folle. J'enlevis mes souliers qui me fesai mal aux pieds, pis enlevais mes chaussettes du même coup. Je marcha vers la salle de bain, pis refermis la porte derrière moi. Puisque c'étais un asile, il ne mettas aucun lockais sur les portes, dommage. Je me regardais quelque secondes dans le mirroir vielllis par les années, et j'eu envie de crier, encore. Mais je me tû, et ouvris la pharmacie. Je me souvenais que lorsque j'étais arrivée ici, j'avais apporter avec moi quelques trucs, comme par exemple de la crème de nuit, du savon pour me laver les mains et en autre un rasoir pour m'épliler les jambes. J'allais quand même pas avoir les jambes affreuses, oh non ! Je pris le rasoir d'une main puis le laissa tomber dans l'évier. Je referma la porte de la pharmacie, pis me regarda une dernière fois dans la glace.

- « Espèrant que ça va mieux fonctionner que la frustation sur mes murs...»

Je n'avais aucune idée pourquoi je fesais cela. Mais une chose était sur, j'allais souffrir, mais je me disai que c'était mieu que je le fasse, que Effy ou l'un d'entre eux. Tout ce que je voulais c'était évacuer la frustration, j'était certaine que tout ça allais m'aider. J'en étais persuadée. J'enleva donc la lame du rasoir presque neuf, puis laissa glisser la lame sur mon poignet droit. Soudain j'entendis la voix de Alex, il disait qu'il avais oublier de prendre une prise de sang. Mais j'étais trop concentrée a serrer les dents. Puis je laissa échapper un cris aigu de douleur qui avait tralli ma cachette.

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

J'entendis un cris qui provenait de la petite salle de bain, je cru d'abord qu'elle n'était pas seule que peut-etre un patient était avec elle et était en train de lui faire du mal. Chose qui arrivait très souvent dans l'asile puisqu'on ne pouvait pas surveiller tout le monde. J'ouvris la porte de la salle de bain rapidement et je m'appretai a devoir assenir un coup a quelqu'un.... mais il n'y avais que Stella... son bras droit en sang, toute tremblante. Je figeai un instant, le sang ne m'effrayait pas c'était plutôt ce qu'elle venait de tenter de faire qui me surpris. Un instant avant elle m'avait presque paru contente que je l'écoute et tout et voila qu'elle se mutilais... pour se soulager surement. Je pris la premiere petite serviette que je vis près de moi et j'entourai ainsi son bras empechant le sang de circuler trop a son bras.

- Qu'est-ce que t'as fait... pourquoi tu t'es fais sa ?

Je la regardai, mais elle n'avait même pas l'air de réaliser le geste qu'elle venait de commettre. J'enleverai la lame de rasoir qu'elle tenait toujours dans ses mains. C'était même pas que je craignais qu'elle ne m'attaque avec c'est plutôt que je ne voulais pas qu'elle se reblesse... Je jettai la lame dans la poubelle la plus pres. L'aidant à se relever je la ramener dans la salle de médecin la plus près. J'amenais de quoi éponger le sang qui coulait abondamment. Je restais calme, la plaie était profonde mais comme elle se l'était fais à l'horizontale sa ne la tuerais pas. Surement qu'elle le savait elle aussi... si vraiment elle avait voulu mettre fin à sa vie, elle l'aurait fait à la vertical. Je tenais son bras fermemant avec une compresse, il me faudrait surement faire des point de suture, car je doutais que la plaie cicatrice d'elle même.

- Il te faudra des points de suture j'ai l'impression.... regarde moi... qu'est-ce qui t'a pris de te faire ça?

Du sang il y en avait, d'habitude j'étais même du genre à aimer ça, mais s'est que généralement c'était moi qui faisait ses plaie.. enfin c'Était médicalement parlant. Là je ne comprenais pas qu'elle s'inflige ça elle même... je voulais des explications. Elle m'en devait.

Et voilà. Alex' venait de me trouver assise sur le plancher, une lame dans une main puis l'autre.. complètement mutilée et sanglante. J'avais mal, et c'était le but. Je voulais oublier, au moin cinq minutes.. cinq petites minutes que j'étais ici, enfermée comme un animal. Le médecin pris une serviette, pis l'entoura autour de mon bras pour empêcher le sang de couler par terre, et moin vite. Il m'enmena dans la salle des médecins la plus proche puis éponga mon bras avec des compresses. Je n'osai même pas regardader, et j'avais lâcher à quelques reprises des son aigus qui exprimais la douleur. Le docteur m'avais posée une question, et m'avais dit qu'il faurait faire des points de soutures, et ça j'en était consiente. Par la suite, il m'avais demander de le regarder, et de lui expliquer toutes les raisons pour lequels j'avais fait ça. Mais même au plus profond de moi, je le savais. Alors je me contentais de serrer les dents pendant qu'il épomgais encore ma blessure.

- « C'est compliquée, » dis-je en gloussant. « Je veux tellement oublier que je suis dans ce trou que je me fais souffrir. Même si ce n'est que cinq ou dix minutes, ça me fait du bien.. »

Je n'avais aucune autre explication logique. Alexander commenca à faire mes points de souture et je le regardais sans cesse. Sans aucune raison. C'était vraiment bizare à quel point cet homme pouvait, par sa simple présence, me faire sentir mieux. Je secouais la tête légèrement, puis serra les dents de nouveau à cause de la douleur.

- « Merci beaucoup de m'aider comme ça, et surtout de pas me traiter de folle ou de malade mentale. Pourquoi vous me regarder de cette façon ? »

Peut-être que ce n'était qu'un simple regard. Mais je voulais le savoir alors je n'ai pas hésité a lui poser la question. Peut-être que c'était moi qui le regardais d'une façon douce... en fait je n'en avais aucune idée.

• MESSAGES : 93 • CRAZY since : 14/07/2010

Lorsque la plaie saignait moins, j'entamais les points de suture. Il lui arrivait parfois de lacher de leger cris de douleur. A chaque fois il levait les yeux vers celle-ci et ne comprenait pas qu'elle puisse se faire cela. Les points de sutures terminer, je recouvrai la plaie d'un bandage vue que le sang continuait légèrement de s'écouler.

- Tu devrais pas te faire souffrir comme ça quand même... j'suis sur que cet endroit n'a rien de facile. Mais franchement sa... dis-je en montrant son bras, s'est extreme...

Je disais ça alors que j'avais vue tellement pire ici, mais je le disais en prenant en compte qu'elle n'étais pas folle. Je sais pas pourquoi... s'est tout ce qu'elle me disais qui était e trian de me mélanger, de me faire douter. Je finis son bandage et ne su quoi dire jusqu'à ce qu'elle me demande pourquoi je la regardais ainsi. Avais-je un regard différent à d'habitude? Si oui, elle avait remarquer... J'haussai les épaules comme si j'ignorais de quoi elle parlait puis je croisai son regard, comme si elle espérait une réponse clair et net de ma part.

- Je euh... je sais pas de quoi tu parles. Je devrais y retourner.. mais fait attention silteplais...

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