What have you done? | PV Effy

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Stella m'avait avouer que c'était Effy qui lui avait fracasser la tête sur le ciment et qu'elle prenait un malin plaisir à venir l'embêter et rire de ce qu'elle pouvait écrire sur ces mur. Je ne savais trop pourquoi, mais cette journée là j'avais décidé d'aller voir celle-ci, lui demander ce qu'il avait bien pu lui prendre. Je défilais dans les corridors et les patients craignaient tous un peu que je m'arrête à leur chambre pour des tests spéciaux. C'est vrai que j'étais dans l'allée des plus dangereux, dans cette allée même ou se trouvait Effy, et c'était très souvent avec les plus dangereux que j'aimais faire des tests. J,arrivai finalement à sa chambre et je pris une grande inspiration avant d'y arriver, je ne savais pas comment elle réagirait aujourd'hui puisqu'elle n'avait encore pris au calement ou quoi que ce soit. Je toquai donc à sa porte, poliement, je ne voulais en aucun cas qu'elle ne fasse une crise ou quoi que ce soit. Je regardai autour et appercu un garde au bout du corridor. Cela me rassura, car en cas ou elle se facherais, il viendrait aussitot la maitriser. J'ouvris la porte de celle-ci et la trouvai assise sur son lit. Elle ne faisait rien... c'était ce genre de comportement anormaux qui donnait souvent froid dans le dos. POur ma part j'étais habituer.. sa ne me faisait donc ni chaud ni froid.

- Effy? N'est-ce pas.... tu te souviens de moi? Je ne lui laissais pas vraiment le temps de répondre que j'enchainai avec une autre question. Il faudrait que tu viennes avec moi... on va se promener sa te dis?
J'ignorais si elle approuverais, mais je savais qu'il était rare qu'on laissait les gens de cette aile se promener, sauf parfois il leur arrivait de s'échapper. J,attendais sa réponse, j'espérais qu'elle accepte je ne voulais pas la forcer à m'écouter. Je ne voulais pas qu'un garde vienne s'en mêler non plus.

Sous ordre de je ne sais trop qui, les gardes m'avaient ramenés à ma chambre, sans pour autant être doux. Aussitôt que j'étais arrivée, je leur avait hurler dessus avant de me laisser tomber sur mon lit et de me mettre à me tirer les cheveux. Putains d'voix qui me lâchaient plus. J'ignore combien d'heures je passa ainsi, mais à la tombé du soir, lorsque quelqu'un vint toquer à ma porte, j'étais toujours assise en tailleur sur mon lit et je fixais le vide. Trente secondes plus tard, un homme entra. Dans la noirceur, je pouvais mal distinguer son regard, mais lorsqu'il s'approcha, je mis peu de temps à comprendre que c'était l'un des docteurs. Lui qui m'avait soigné ma dernière blessure à la jambe quelques temps auparavant. Il semblait mal à l'aise et me demanda si je me souvenais de lui pour ensuite enchaîner avec

> Il faudrait que tu viennes avec moi. On va se promener sa te dis? Me demanda t'il, toujours sur les gardes.

Je ne broncha pas, j'ignorais ce dont il me voulait, mais il était hors de question que je finisse en sale d'expérimentation ou encore à moisir dans la cave où évidemment, personne n'allait me trouver avant décomposition. De toute façon, j'étais bien ici. Les voix parlaient, hurlaient, mais j'avais réussi à les calmer. Du moins, jusqu'à ce qu'il entre dans ma chambre, ce stupide docteur. Je détourna le regard et pencha la tête vers mon lit, taché de plusieurs tâches de sang, tous causé par moi, infligés sur moi ou encore les gardes, infirmière etc. J'étais parfois un peu violante, juste parfois. À cette pensée, je souria. J'étais folle à liée à vrai dire. Le médecin était toujours là, attendant que je ne prononce un mot. Il se faisait des idées si il croyait que j'allais l'accompagner. Puis voyant qu'il ne bougeait toujours pas, je soupira bruyemment puis me leva lâchement avant de me poster devant lui, à quelques centimètre de son visage.

> Vous m'voulez quoi hein ?

Il allait certainement pas me parler de la pluie et du beau temps ce crétin. Je reste un bon moment, près de son visage, prête à lui enfoncer mes ongles dans le crâne. Je me recula finalement et lui fis un grand sourire avant de me relaisser tomber sur mon lit en me prenant la tête à deux mains, poussant des gémissements de morts face à la douleur. Pourquoi ne me fichaient-elles pas la saloperie de paix ? Je me mis à tresallir et malgré moi, poussa un énorme hurlement.

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Je n'aimais pas particulièrement la voir s'approcher de si près de moi avec un air de cinglé. Elle me répondit sèchement et je cru qu'elle allait m'attaquer, mais je n'avais pas broncher du tout et elle retourna simplement à son lit en se tenant la tête dans les mains. Je me demandais un moment si ça vallait vraiment la peine de lui parler du cas de Stella, de ce qu'elle avait fait. Je fis signe au garde dans le corridor de s'approcher légèrement. Je n,avais pas dans l'idée de le faire venir, j'espérais juste la convaincre en lui faisant un peu peur.

- Écoute je t'assure que c'est que pour discuter. Je n'ai pas envie d'avoir recourt au garde pour que tu viennes... de plus, quand les gardes s'en mêlent ils font souvent finir ça dans la salle d'isolement. Je ne veux pas que sa se termine comme ça.

J'avais qu'une envie c'était de m'énerver en même temps, mes pensées changèrent et je me disais qu'il serait peut-être plus simple de lui injecter directement le produit qui la calmerait et demander aux gardes de lui mettre la camisole de force. Je savais que comme ça je lui parlerais peu importe qu'elle soit consentante ou non, mais je craignais que le message ne passe pas. Je m'approchai d'elle ce qui me donna même la chair de poul tellement c'était sombre comparé au corridor, je ne la voyais qu'à peine. Je m'arrêtai à une certain distance, je voyais bien qu'elle se débattait avec les voix dans sa tête qui devait surement être en train de lui dire de me décapiter ou je ne ssais trop.... Je me rappelai encore pleinement de son dossier... de son histoire... de ce qu'Elle avait fait à son beau-père. Puis vue ce qu'elle avait fait à Stella je me méfiait encore plus.

- Si tu veux je peux faire diminuer les voix avec une injections... mais s'Est ton choix. Si tu me dis que tu peux venir te promener et que les voix ne te gênerons pas sa ne me dérange pas.... rajoutais-je tentant toujours de la convaincre.

J'étais coincée. Il avait fait signe aux gardes, subtillement, mais je l'avais tout de même bien vu. Discuter mon oeil bien sur. Il avait sans doute la seringue en poche et son seul plan était de m'amenmer au directeur, un truc du genre. Je marmona quelques paroles imcompréhensibles puis me releva a nouveau.

> Si tu veux je peux faire diminuer les voix avec une injections. Mais C'est ton choix. Si tu me dis que tu peux venir te promener et que les voix ne te gênerons pas sa ne me dérange pas.

Je soupira puis me planta devant lui en lui lancant un regard noir. J'avais pas besoin de foutus injections, et il était mieux de pas osé. Malgré tout, lorsque je croisa son regard, je fus incapable de réellement lui en vouloir. Mon air bête se changea en 'Aucunes émotions' et nous sortîmes de ma chambre. J'ignorais si il voulait vraiment parler ou si j'étais en train de me faire embarquer dans je ne sais quoi, après tout, c'était toujours sur les gens comme moi qu'ils faisaient leurs expériences. Un moment, ce fut le silence, je voyais bien qu'il y avait plus de gardes que d'habitude et que les infirmières étaient tous armés de seringues. Un sourire ce fit sur mon visage, j'aimais être aussi imporante. Je tourna mon regard vers le médecin et d'une voix rauque marmona

> Tu m'veux quoi ?

Après tout, qu'avais-je pu faire de si mal. J'avais passée les deux derniers jours dans ma cellule a ne rien faire du tout. Peut-être avait-il été témoins de la petite visite d'Hazael, mais cela m'aurait étonné, après tout, il avait été vraiment subtil. De plus, Hazael m'avait été d'une grande aide, j'étais en pleine crise et personne ne venait m'aider, tous effrayés que je ne les massacre, alors lui était entré et m'avait parlé jusqu'a ce que je finisse par m'endormir. Un autre médecin m'aurait hurler dessus, punis ou je ne sais quoi. Mais j'avais l'impression que celui-ci pouvait me comprendre. Va savoir pourquoi. De plus, peut-être n'était-ce pas de ceci qu'il voulait parler.

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Un bref instant je cru sincèrement que j'aurais à utiliser la force avec celle-ci pour lui parler. Enfin c'est que je croyais qu'elle esserais de m'attaquer ou je ne sais trop. Pourtant, au moment ou elle s'approcha de moi, au moment on se regarda un bref instant je cru voir qu'elle avait "abandonner" et c'est ce qui arriva.. elle se mis à me suivre et nous marchame dans les corridors de l'asile. Ballade presque normale si on ne regardait pas les infirmières et les gardes qui se tenaient tout près. Je n'avais pas encore parler ce qui l'énervait peut-etre puisqu'elle me demanda ce que je voulais. Je ne répondit pas immidiatement, je continuais à marcher et finalement soupirai.

- Un garde m'a prévenu qu'il t'aurais vue t'en prendre à une patiente. Enfin, il serait arriver au moment où tu quittais. Tu aurais cogner sa tête au sol et lui aurait tirer les cheveux assez violemment. Déjà je peux savoir ce que tu faisais en dehors de ta chambre?

Je m'étais arrêter dans le corridor et j'avais croiser mes bras sur mon torse, j'attendais qu'elle m'explique ce qui lui étiat passer par la tête pour avait fait quelque chose d'aussi stupide. Elle ne risquait que des ennuis... que la salle d'isolement. C'est ce qu'on imposait dans des cas comme ça, sa pouvait aller jusqu'à deux semaines dans la salle d'isolement. Surement qu'elle était au courant également, elle espérait peut-etre que ce qu'elle avait commis serait tolérer, mais là disons qu'elle ne s'en était pas vraiment prise à la bonne personne.

- Tu sais la punition qui est réservé pour les personnes qui quittent leur aile sans être accompagné?

Elle n'eu pas à répondre ou quoi que ce soit, je sais qu'elle savait et qu'en plus là elle espérait s'en tirer avec rien. Le règlement était très clair là-dessus et surtout pour les cas dangereux comme celle-ci, si elle commençait à quitter l'aile comme ça sans surveillance il fallait une punition pour qu'elle s'en rappel pour les prochaines fois

- En plus tu t'en prend à une patiente, normalement l'histoire se serait déjà rendu aux directeur de l'hopital, mais hm... je voulais que tu m'expliques ce qui s'Est passé avant.

Techniquement un rapport aurait du être fait et ensuite le directeur aurait pris la décision à savoir qu'est-ce que l'on fait de son cas, mais moi je voulais savoir ce qu'il lui avait prit de faire ça. Je voulais qu'elle m,explique et ensuite je décidrai moi-même ce qui lui conviendrait le mieu. Peut-être qu'un peu d'isolement lui ferait pas de tord.

Le médecin me parla d'une patiente, qui visiblement aurait été attaquer par nul autre que moi. Je tourna la tête vers lui et haussa les sourcils. C'était pas d'ses oignons. Oui je m'en étais prit a cette conasse, mais elle l'avait bien chercher. C'était qu'une pauvre fille qui ne voulait que faire pitié et qui ne se croyait pas folle. Débile étant le mot la décrivant le mieux. Le médecin s'était arrêter, avait croisé les bras et m'expliqua ce qui me réservait habituellement lorsque je faisait ca. Je souria puis m'approcha de lui de près.

> Alors enfermez moi docteur, c'est pas pour autant que je ne la tuerais pas cette conne. Murmurais-je avant de me reculer doucement.

Je regretta aussitôt, et ce pour la première fois de ma vie, les paroles que je venais de dire. Ce docteur était différent des autres, du moins, a mes yeux, et encore une fois, je lui prouvais que j'étais folle et qu'il devait alors devenir mauvais avec moi. Je continua a marcher, me fichant de si il suivait ou non puis m'arrêta après quelques pas. Des hurlements venaient d"être poussés non loin. et de nature curieuse je leva la tête pour voir. Encore cette folle aux chats qui hurlaient. Selon ce que m'avais dit l'une des infirmières après que je l'aille menacer, cette fille avait été accusé du meurtre de ses enfants. Selon les dires de l'autre, elle les aurait tous un par un un noyé dans le bain, avant d'abandoner la maison et de se louer un petit appartemant. Il prit peu de temps avec que les polices la retrouve, dans son appartement, avec au dessus d'une trentaine de chats, tous plus laids et maganés les uns que les autres, son oeuvre encore une fois. Elle était vieille, et pas a sa première crise. Je rigola doucement puis me retourna finalement vers le docteur.

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Sa réponse me figea... alors que d'habitude j'aurais été du genre à réagir immidiatement avec un baffe a la figure la je ne bougeais plus, son air changea et elle continua son chemin dans le corridor. Je décidai de la suivre... j'eu envie de la prendre par le bras et l'amener directement à l'isoloire pour une bonne semaine, mais en même temps je ne pouvais pas... je me disais qu'elle ferait surement une crise ou quelque chose du genre. Elle s'arrêta au milieu et je m'arrêta également juste derrière celle-ci... on entendait un cri perçant qui venait du fond de l,aile surement. L'écho ramenait le son jusqu'ici, Effy se tourna face à moi et j'étais trop près d'elle à mon gout que je me reculai automatiquement d'un pas. Un sourire s'afficha sur son visage et je devinais qu'elle trouvait la situation drôle. J'avais ma main sur la seringue qui me sauverait peut-être la vie si elle pétait un crise, je pris une inspiration et enchaina.

- Avec ce que tu viens de me dire... je crois que je n,aurai pas le choix de te mettre en cellule d'isolement, j'aurais bien voulu que sa se termine autrement mais là tu ne me laisse pas vraiment le choix. Viens avec moi...

Je lui paralit calement, mais pas d'une voix douce non plus, j'attendais maintenant qu'elle vienne et j'espérais ne pas avoir affaire aux gardes... je ne savais pas si je prenais la bonne décision. Peut-être allais-je empirer la situation... J'attendais déjà de voir si elle allait me suivre jusqu'a la salle... ensuite on verra bien. J'avais été assez patient avec celle-ci et à maintereprise j,aurais pu dire aux gardes de s'occuper d'elle et ils se seraient faite une joie de s'en charger... et surement pas avec douceur. Comme elle était connu et qu'elle avait laisser plusieurs cicatrice, ils savaient qu'ils devaient utiliser la force dès le départ avec eux.

> Avec ce que tu viens de me dire... je crois que je n,aurai pas le choix de te mettre en cellule d'isolement, j'aurais bien voulu que sa se termine autrement mais là tu ne me laisse pas vraiment le choix. Viens avec moi.

Je soupira d'ennuis et me retourna vers le médecin qui était peut-être un peu trop près. Chose qui me fit sourire et je m'approcha dangereusement de lui, d'une façon aguichante, puis, à environ quelques centimètres de lui, je stopa.

> Je vous suis.

Je lui fis un grand sourire puis tourna la tête brusquement vers la droite. Un terrible cri venait d'être poussé, mais cette fois différent. Pourtant, il n'y avait aucune porte, seulement un mur. Je reposa mon regard sur le docteur, il continuait de me regarder comme si rien n'était. Je regarda les gardes plus loin, les infirmières, personne ne semblait entendre ce cri déchirant. Je me mis à trembler puis regarda à nouveau le médecin.

> Vous entendez ces cris ? Vous ne faites rien, cette personne doit être en train de se faire tuer. Dis-je comme si pour la première fois de ma vie, j'avais envie qu'il ne lui arrive rien.

Je réalisa à son regard perplexe et à sa mains qui tendait de plus en plus vers la seringue que ce cri, j'étais la seule à l'entendre, que ce cri, c'était dans ma tête. Je réalisa qu'avec le temps, tout empirait. Je me mis à pleurer et me laissa violemment tomber sur le sol froid. Depuis quand étais-je aussi fragile ? Je l'ignorais, mais avec le temps, j'allais finir par en crever, c'était clair. Je prit ma tête entre mes mains et me mis à pleurer encore plus. Depuis quand j'éprouvais autant de sensibilité. Non la question était, depuis quand avais-je autant mal ? J'avais cette putain d'impression que le ciel me tombait sur la tête, que le crâne allait m'exploser et que j'allais finir par trucider chaque âmes vivantes ou mortes de cet enfer d'établissement.

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Je me figea un instant alors qu'elle se trouvait a à peine quelques centimètres de moi je sentais dans son regard pourtant qu'elle ne me ferait pas de mal. COmment l'expliquer je ne savais trop... Au moins elle acceptait de venir dans la salle d'isolement sans crise ce qui me permis de me soulager. Je me tournai et vit qu'elle regardait en direction du mur... et me demanda si j'entendais et pourquoi je ne faisais rien. J'Haussai un sourcil et elle en déduit d'elle même que je n'entendais surement pas ce qu'elle elle entendait. Se laissant tomber au sol je m'accroupi près de celle-ci aussitôt. Elle était encore toute là... je fit signe au garde de rester à l'écart et regardais celle-ci qui.... sanglotait? Je pris ma seringue et me préparai à la piquer.... l'aiguille s'enfonca dans son bras et je ne savais même pas si elle se rendait compte de ce qui se passait. Elle se débatit à peine un moment avant que le produit ne commence à faire effet.

- Désolé... c'était pour ton bien, je vois bien que tu souffrais et tout.. comme sa tu souffriras moins.

Ajoutais-je alors qu'elle me regardait drôlement. Je restais accroupit la et j'espérais au plus profond de moi qu'elle comprenait pourquoi j'avais du faire cela. Je savais par contre qu'en la laissant dans la salle d'isolement, il y avait un risque qu'un médecin passe ou quoi que ce soit pour faire des tests. Il m'arrivait aussi de le faire donc.. Je souriai à cette pensée, mais je ne le faisais pas avec tout le monde. Je l'aidai à se relever puisque l'injection avait sembler l'affaiblir légèrement et je l'amenai directement dans la salle sans discuter.

- Je reviendrai voir si tout va bien tentôt,.... je ramenerai une dose.. aucas ou.

Je la regardai un instant comme si j,attendais une réponse, même si au fond, peu importe ce qu'elle répondrait (sadique ou pas..) je reviendrai... Pour une fois que j'étais honnête.... des fois il m'arrivait de laisser un patient dans la salle et de l'oublier quelque temps, mais bon les gardes s'occupaient toujours à ce que les personnes en isolement aient à manger donc il n'y avait pas de problème.

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