Se détend... Non ? [ TERMINÉ ]

Il était 4h heures du mat'. 4h heures du mat' et je n'arrivais toujours pas à m'endormir. Je tournais et tournais dans mon petit lit, essayant de le chasser et de trouver le sommeil. Mais pourtant rien ni faisais. Je poussais les pauvres couvertures qui m'abrillait au bout de mes pieds et lâchait un grognement sonore. J'avais beau être seul physiquement dans ma chambre, il ne me lâchait pas d'une semelle et commençait à m'emmerder profondément. Je me tournais sur le côté après mettre écrasé mon oreiller sur les oreilles. Enfin, il lacha prise et je pu enfin dormir... En quelque sorte.

Je me réveillai en sursaut au son de l'alarme matinal. Je m'assis dans mon lit alors que la lourde porte d'acier s'ouvrit. Je me frottai les yeux et me levai avant de sortir de ma chambre. Évidemment, les autres patients firent de même. Monsieur McCoy, à son habithude, comptait les tuiles du plafond tandis que la pauvre Madame Newton apelait désespérement ses enfants, ne se souvenant jamais qu'elle les avaient, l'année auparavant, tuer dans la baignoire. Plusieurs d'entre eux se dirigèrent vers le refectoire mais comme à mon habitude je me dirigeais dans le sens contraire, dans la salle de détente. J'aimais cet endroit car il était calme et je pouvais facilement y lire.

Je longeai les murs, tournai des corridors, montai un escalier et arrivai enfin à destination. J'alla m'asseoir à la même table que d'habithude. Celle dans le coin de la pièce, donnant sur la grande fenêtre. Je tirai ma chaise et m'assis confortablement sur la chaise de plastique. Le livre que j'avais lu hier était encore là. J'eu un petit sourire en coin et le pris avant de l'ouvrir à l'endroit ou je m'étais arreté.

Évidemment, il n'allais pas me laisser tranquille. Ian arriva à ma table et s'assis à la chaise en face de moi. Il mit une réglisse entre ses dents et en arrachant une partie qu'il mâcha avec amusement en mettant ses pieds sur la table.

« Non mais tu lis encore ça ? »

Il afficha un visage horrifié, étonné, mais cette grimace ne resta pas longtemps et il se mit à rire. Je le regardai avec un visage qui n'exprimais rien. Ses sourcils se froncèrent et il me dévisagea.

« Oh ça va ! Fait moi pas la gueule ! »

« Ah ferme-là Ian ! », marmonnai-je.

« Ferme-là Ian ! », répliqua-t-il en essayant de m'immiter.

Je lui jettai un regard noir alors qu'il semblais bien se marrer sur sa chaise. Je reposai mes yeux sur mon livre et tentai désespérément de l'ignorer.

- Donc si je comprends bien, vous aimez le feu?
- Je suis pyromane ouais.

Le docteur pris une courte pause, ça lui avais pris un moment fous aboutir a cette réponse de ma pars. Bien sûr je lui avais laissez la tâche facile, pour l’instant. Le rendre fous et ensuite changer de docteur, le prochain croyant aussi pouvoir me changer; ils sont tous pareils.
Le Docteur, ou docteur *Giroux*, Girouette comme j’aime l’appeler, mis fin a la session et me fis sortir :
- A la prochaine doc !
- Oui…

J’entama ma marche dans les couloirs blanc, toujours pareils et lugubre. Pour des raisons qui m’étaient inconnus cette partie de l’asile était beaucoup moins éclairé, et j’aimais pas sa; Moins de lumière est égal a moins de chaleur, et moins de chaleur est égal a moins de feu….le feu. Ça fesait tellement longtemps que je n’avais pas vue de mes propres yeux. Je me rappelle avoir entrevue un ombre ressemblant a une flamme, mais ce n’était qu’un rideau de fenêtre qui volait dans le vent.

- HEY WO

Je passa proche de tomber en m’accrochant dans les escaliers. Comment ai’je fais pour pas les voir? Aaah et puis merde.
Je monta les marches en peu de temps et arriva dans la salle de *détente*. J’aimais pas vraiment cet endroit, c’est…fade et rien ne s’y passe jamais. AH tiens…quel qu’un est actuellement ici.
Un homme était assis dans une chaise avec un livre et semblais parler avec la chaise a coté de lui. Je m’approchas de la chaise en question, baissa la tête pour mieux voir. Il n’y avait vraiment rien. Par la suite, remarquant que l’homme me regardais toujours pas, je me placa devant lui et pencha le torse ainsi que ma tête vers lui, avec un sourrire :
- Hey, toi aussi tu parle tout seul?

J'étais en train de lire très calmement lorsque quelqu'un approcha son visage du mien et me salua. C'était un homme, qui semblait a premiere vu plus petit que moi mais un peu plus agé.

« Bonjour... »

« Bonjour ! Haha Haz', j'ai toujours apprécier ta spontané »

Je regardai durement Ian qui me fit un sourire angélique... Ce qui me donna le goût de lui enfoncer mon poing dans la gueule. Je me souvins alors que l'homme m'avait aussi demander si moi aussi je parlais tout seul.

« Et pour répondre à votre question, je ne parle pas seul je parle à... », dis-je avant de m'interrompre.

Je m'apprétai à dire que je parlais avec Ian avant de le pointer mais je me souvenais qu'il n'existait pas losrqu'il m'adressa un gros sourire. Ian me regarda et appuya ses coudes sur la table.

« Tu le sais... Qu'il ne me voit pas, hen? Je suis dans ta tête, oublie-le pas Haz'. »

« Veuillez me pardonner. Je ne suis pas totalement... habituer avec mon... état, si je peut m'exprimer ainsi. Qui êtes-vous au juste? C,est la première fois que je vous voit dans l'Institut et cela fait plusieurs années que je suis ici. Vous êtes nouveau? »

L'homme semblait du genre a sourire tout le temps. A toujours être heureux. Il semblait sympathique mais il me foutait la trousse avec son sourire idiot. Si Ian n'aurait pas été là, je n,aurais surement pas répondu a l'homme. Je jettai un regard craintif dans la salle. Des gens commencaient a entrer et bientot la salle serait pleine. Je regardai aussi l'heure. 13h27. La salle de détente commence habituellement a se remplir vers 14h30, cela me laissait encore un peu de temps de lecture.

Le jeune était plutôt hésitant et semblait légèrement mal alaise. Je m’éloignas un peu de son visage, me recula et m’assis sur la chaise avec laquelle il parlait. Je détournai le regard quelques instants de l’homme et en profita pour entrecroisée mes jambes. Je le fixai un moment puis leva les mains dans les aires et bougea mes doigts dans tout les sens :
- Bbwaa ! Bon, pour ta question; C’est une très TRÈS longue histoire.

Je descendis mes mains et les accota Avec force sur les accotes mains de la chaise. Avant qu’il puisse dire quelque chose je continuai :
- Mais t’es chanceux parce que j’ai justement EMPLEMENT le temps de te la raconter. Mais tout de même je vais faire sa bref, ou non. Enfin, peut-être, nous verrons. BON je commence mon histoire…ça commençais ou déjà…

J’appuyai mon menton sur ma main et frotta avec mon index ma lèvre inférieure pour penser :

- Bon, je vais commencer par le plus simple je crois; Je m’appelle Sael R.Pyromanen. Tu peux m’appeler Sael, ou Salou, pour les intimes. Bon…qu’y aurait-il d’autre a dire… Ah OUI! J’ai été incarcéré dans l’asile a cause de ma…bah ils appellent sa le *Fanatisme du feu* moi j’appelle plutôt ça Dieu du feu… en fait c’est toi qui vois.

Je m’assois plus confortablement dans ma chaise et mis mes deux mains en arrière de ma tête :

- Et pour mon histoire, vite fait : je suis passé d’une vie heureuse, a une vie malheureuse pour ensuite être en prison. Par la suite je me ramasse ici, Logique Non?

L'homme écarta son visage du mien et alla s'asseoir sur la chaise de Ian qui n'avait pas l'air content. Celui-ci s'était donc retrouvé en moins de deux secondes assis a mes côtés.

« Mais pour qui il se prend de s'asseoir sur moi ce connard... », maugré Ian.

L'homme se présenta, Sael R. Pyromanen. Il me raconta brèvement sa vie et comment il s'était retrouvé ici. Il avait l'air d'un gars qui se prend pour plus intelligent qu'il ne l'est en réalité. C'était tout un personnage, très locace et pas timide pour deux sous.

« Je ne vois pas vraiment de logique mais chacun son point de vue. »

Je regardai l'homme un instant puis reposai mon regard sur mon livre. Je n'était pas vraiment du genre locace, contrairement a lui. J'avais beau ne pas vraiment me souvenir de mon enfance, je savais, à l'intérieur de moi que j'avais beaucoup souffert.

Je continuai a sourir, Comme toujours :

- La logique c’est un point de vue, quand tu comprend pourquoi ça ce suis , ou que tu en invente une et bien…ça deviens logique ! Logique hein?

Je me levai de ma chaise et observa alentour; Beaucoup de gens entraient maintenant dans la salle de repos. La plus part ne fesaient que vagabonder dans la salle, mais certains prenaient des livres. Personne se parlait , sauf a eux même, mais personne ne portait attention a la conversation entre moi et Lui. Je me rassois et me retourne vers l’homme. Je fis bouger mes doigts dans plein de sens une fois de plus.Je cessa se sourire un moment, le fixant. Puis je recommença sourire de plus belle . Je plissai les yeux :

- Hey, au juste. C’est pas que tu la pas dis , mais c’est que tu la pas dis. En fait c’est que tu crois l’avoir dis mais…

Je plissa encore plus les yeux et me rapprocha de son oreille, je chuchotai :

- C’est quoi ton nom? Surnom? Nom de famille? Second nom? Nom d’église? Nom amical? Peu importe

Sael commenca a déblatérer sur la logique. Quelque chose comme quoi la logique est un point de vue, que quand tu comprend le pourquoi de la chose alors la c'est logique ou encore bien que tu en invente une alors la sa deviens logique. Je comprenais tres bien ce qu'il voulait dire, mais je ne trouvais pas ça plus logique.

« Non je vous l'avais pas dit. Je me nomme Hazel. Hazel Adam Owens. »

« Mais question surnom, Haz' il déteste ça. N'est-ce pas Haz' que t'aime pas les surnoms ? »

« Oui Ian ! J'ai compris ! », dis-je en jettant des gros yeux a Ian a mes côtés.

Je soupirai fortement. Il me tappais sur les nerfs. Mais au moins aujourd'hui il était calme et sensiblement gentil... en quelques sortes. Je me retournai et regarder la salle. J'eu le souffle court pendant quelques instants mais elle était encore peu habité par les autres patients. J'avais encore du temps.
Sael en avant de moi semblait observer la salle lui aussi. Cet homme semblait bizzare. Quelques choses en lui me faisais me méfier de lui. Quelque chose cloche chez lui. Mais bon, toutes les personnes qui sont ici ont quelques choses qui cloche alors il ne faut pas vraiment que je me fis a cela. Je fermai les yeux un peu et tenter de me reconcentrer sur mon livre.

hazel cria a ian, probablement la personne a qui il parle qu'il avait compris. Je regardai Hazel s'assir et je me levai de ma chaise, Hazel semblait parler vers elle. J’examinai la chaise une fois de plus. Il y avait rien de spécial une fois de plus. Je fis face a la chaise ou ce Ian était sensé être assis et esseya de la fixé, malgré qu’il existait pas. Je tendis ma main :

- Hey, yo el grand ! Sa va?

J’attendis un moment sa réponse, bien que je savais qu’il allait pas en avoir. Je m’assois a terre en face de la chaise. Je baillai par exiprès et laissa tomber ma tête vers l’arriere. Je me relevai lentement par la suite et bougea les doigts de ma mains droite :

- Si seulement j’avais encore mes bagues. Il y en avait une qui marchais comme un lighter tu sais? C’étais vraiment magnifique…

Je regardai mon doigt autrefois munis de la bague lighter avec fanatisme. Je détournai ensuite le regard vers Hazel :

- Pas bavard ton ami hein? Je comprend que parler a un dieu du feu c’est plutôt intimidant mais je brule pas les gens; je brule n’importe quoi qui peut bruler. De préférence les école, ouais les école. J’aime bien les explosions aussi….de GIGANTESQUES EXPLOSIONS !

J'avais reporter mon regard sur mon livre dont je n'avais pas réussi à lire deux pages encore mais Sael se leva et observa la chaise ou Ian était assis. Sael fit signe de la main dans la direction de Ian qui le regardait avec un sourcil relevé. Sael dit ensuite bonjour et demanda comment ça allait.
Par la suite, il s'assit par terre et fit des trucs avec ses mains. Il commenca alors a me parler d'une certaine bague qui fonctionnait comme un briquet. Je l'écoutais a moitié car je n'avais pas vraiment envie d'entretenir une conversation en ce moment. Je voulais simplement lire mais on aurait dit que c'était trop demander.
Sael me dit alors qu'il trouvait que mon ami n'était pas très bavard. Je le regarda faire avec questionnement. Il continua sans remarquer mon air surpris. Il dit que c'était sur que c'était intimidant parler a un Dieu du feu mais... et il continua un petit monologue comme quoi c'était épatant voir des écoles brûlés.

« Monsieur Pyromanen. Ça sert à rien d'essayer de rire de moi ainsi. Je suis considéré comme Schizophèrne et c'est déjà assez difficile de vivre avec cela alors pas obliger d'en rajouter. »

Je fermai mon livre et me levai de ma chaise. Je la repoussa et pris mon livre dans mes mains avant de me diriger vers la porte de sorti. Il était 14h25, l'heure de partir avant que tout le monde arrive. Lorsque je sorti dans le corridor, il y avait foule. À ce moment la, mon poul s'accéléra et les murs semblèrent raptissé. J'avais de la difficulté a respirer mais je me mis a avancer tout de même en longeant méticuleusement les murs. Je fermer les yeux et essayer de me concentrer sur ma respiration.

« Ah... J'ai toujours aimer les grandes foules de personnes. C'est si... intéressant. »

« Ferme-là Ian. J'en ai rien a foutre de ce que tu penses. »

Dès qu’hazel fut sortit de la pièce, un changement de point de vue, de façon de voir, de vivre changea en moi. J’étais soudain plus calme, et posé. J’observais les gens autour de moi différemment, ont étaient tous des prisonniers.
Mon sourrir disparu et ma posture était plus *normal*.
J’observais autour de moi pour trouver un moyen de m’échapper; une fenêtre, je pourrais la briser avec une chaise. Non, les gardes me repèrerais rapidement et on me jetterais en salle d’isolement. Les trappes d’aération, non plus. On sais pas ou ça mène, et si jamais je tombe a un endroit interdit…

Non, rien ne fesais l’affaire ici, je ne connais pas assé cet asile. Je dois trouver…en savoir plus. Trouver du feu, bruler cet endroit…

Je pris le même chemin que Hazel mais beaucoup plus rapidement que lui. Je traversa une foule de personne voulant entrer dans l’air de repos, qui sera bientôt plus reposant. J’appercevis hazel qui semblais très concentré sur lui-même. Je l’approcha a bonne vitesse et posa ma main sur son épaule pour le tourner vers moi, d’un regard serieu je lui dis :

- Celui que tu vois, sais tu si c’est un esprit, ou c’est a cause de ta maladie?

Je continuais d'avancer les yeux fermés et j'essayais toujours de me concentrer pour ne pas paniquer. Je sentais tout de même mon poul s'accélérer encore une fois. J'avais chaud. J'avais froid. La tête qui tournais, les mains qui tremblais. J'étais presque sorti du corridor lorsqu'une grande main se posa sur mon épaule et me tira violement vers l'arrière. Je me retrouvais de nouveau face à face avec Sael. Il m'avait suivi et semblait plus bizarre que tout à l'heure.
Il me regarda droit dans les yeux et d'un ton très sérieux, il me demanda si celui que je voyais était un esprit ou il était dans ma tête. Je ne savais pas trop quoi répondre. Je voyais tous ces gens en arrière de lui. Ils étaient beaucoup trop. Les murs commencaient à raptisser peu a peu. L'air se faisait rare.

« Ce n'est pas de vos problèmes. Laissez-moi. »

Je pris une grande respiration et me retourna pour continuer mon chemin. Je bifurquai au premier corridor et soupirer fortement. Je venais de sortir de la foule et j'en était bien heureux. Dans ce corridor, il y avait seulement que quelques malheureux patients et un infirmier qui aidait une dame en chaise roulante. Je soupirais une fois de plus et tenter de me calmer. Je recommencer a avancer.

Hazel se détourna et continua sa route. Il semblait moins stressé depuis que la foule C’était évanoui derrière nous, peut-être était-il anti-social, mais il m’a parlé il y a a peine cinq minutes. Il continuait son avancer dans les couloirs. Je decidai de le surprendre et passa par un autre couloir. Je marchai un long moment dans les couloirs de *l’hopital*, ou plutôt la prison. En faite, ils regroupaient toutes les personnes différentes et les rassemblent dans un seul et même endroit pour que la société arrête de chialer après le gouvernement. Mais il fallait bie les mettre quelque part non? Et maintenant c'est nous qui se ramasse ici. il n'y a pas des choses louches qui manque ici, j'essais de parler a quelquun et il fuit de plus belle.

Je tournai un premier coin et entamma une course légère.

Je tournai au deuxieme coin et appercevis Hazel. Quand il arriva au coin j sortis de celui-ci et il se cogna contre moi . Il recula et je le fixa dans les yeux. Je m'accota contre le coin du mur et croisa les bras, pris une grande inspiration:
- J’ai vraiment besoin de savoir

J'avais continuer mon chemin sans continuer la "conversation" que j'avais avec ce Sael. Il était barjot et ne pouvait comprendre rien qu'il ne voudrait pas comprendre. C'était un borné, je le savais simplement qu'a le regarder. Il voulait savoir si Ian était un esprit ou non. En quoi cela le regardait ? Ce n'était pas un médecin bon dieu, et il n'avait pasà me demander cela.
Bien que tout le monde a une raison d'être ici, on est tous pour la plupart, des putains d'associal alors je verrais pas pourquoi j'aurais besoin d'un ami ici. On est dans un asile, pas dans un bordel de discothèque.
Je continuai donc mon chemin dans les corridors puants et déserts. Je souris en coin. Je savais par coeur l'horaire de l'hôpital. À quel heure était les repas. À quel heure et quel endroit était bondé de gens. J'étais content de moi. De cette façon, je pouvais éviter les grandes foules... Et éviter de me retrouver dans l'isoloir.
Alors que j'étais dans la lune, je fonçai dans quelqu'un en voulant tourner le coin du corridor Est et malheureusement pour moi, cette personne était ce Sael.

Je repris pied et croiser les bras alors qu'il me dit qu'il avait vraiment besoin de savoir. Je soupirai et émis un petit rire en haussant un sourcil et baissant la tête.

« Écoute mon vieux... »

Je m'approcha de quelques pas et relever la tête pour le regarder droit dans les yeux. Il n'était pas vraiment plus grand que moi. A peine deux centimètres.

« Je vois pas en quoi ça te regarde. Donc je ne vois pas pourquoi je devrai te répondre. Essaie pas de jouer au plus fin avec moi. », lui dis-je en lui faisant un petit clin d'oeil.

Cet homme ne veut vraiment pas me dire sa réponse, pourtant il y a rien d’agressant ou de moqueur dans ma question. Il me fit un clin d’œil par la suite d’avoir dis de pas jouer au plus fin avec, il pensait vraiment que je n’étais pas sérieux.
Je me relevai du bord du mur mais décroisa les bras. J’expirai et dis :

- Bon….c’étais une question sérieuse et tu ne veux pas me répondre. Très bien, je trouverai ma réponse ailleurs, je ne t’harcèlerai plus. Bonne journée.

Je le contournai rapidement et pris quelques long couloirs blancs pour enfin aboutir sur le chemin direct menant au réfectoire. Par la suite d’un bon repas je me rendrai a ma cellule, ou chambre celon les points de vue, pour relaxer.
Le chemin du réfectoire était plutôt long et je croisai multiples personnel; tous envie de les tuer, mais si je fesais ça je serais envoyer….a la salle de retrait et a ce que je sache, il y a pas de feu la bas…pas encore.
Je faillis me cogner sur des patients a deux reprises qui sortait d’un couloir quel qu’onc . J’entendis des cris venant de plusieurs endroits; mais je m’y étais habitué. Si j’entrais, comme la dernière fois, pour tuer les personnes qui faisait temps de mal. Je me ferais jeter dans la salle d’isolement, toujours la salle d’isolement.

Finalement, j’appercevis le réfectoire

Sael sembla offusquer que je ne lui répond pas et me répondis qu'il avait poser une question sérieuse à laquelle je ne voulais pas répondre. Qu'il chercherait ses réponses ailleurs, puis il s'en alla. Je rit un peu, je savais bien qu'il était sérieux. Il se prenait même trop au sérieux, comme s'il se croyait au dessus de tout. "Ooohh Je suis Sael ! Le grand Dieu du Feu!"

« Ha la la... »

Sur ce, je me dirigeai vers le réfectoire ou je m'en allais avant de me faire interrompre par ce Dieu du Feu. Je longeai les corridors pendant un petit moment et arrivai finalement a la cafétéria. Je lâchai un soupir auditif et m'avanca vers la minuscule file de gens qui attendait pour la nourriture infecte de l'hôpital.
Lorsque je fus servis, j'allai m'asseoir a la même table que d'habithude. Celle dans le fond du réfectoire, près de la fenêtre, d'ou je pouvais observer le paysage extérieur. Je mangeai tranquillement et lorsque j'eu fini je retournai dans ma chambre avant que la foule ne me surprenent de nouveaux.

[ SUJET TERMINÉ ]

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